Suzanne Lafont
Photographies
Exposition du 11 octobre au 23 novembre 1991
Vernissage le 10 octobre 1991
[…] Une continuité presque cinématographique se tisse entre ces portraits. Son travail repose sur une opposition entre l’instantané et la pose. Le modèle tient la pose six à sept secondes, tandis que l’image reste celle du fragment d’un regard, d’un mouvement de tête fugitif, à peine esquissé. Suzanne Lafont déplace ainsi le sens de ses images entre le « pris sur le vif » et la scénographie, entre l’unique et la série, entre le pictural et le cinématographique. (Véronique Bacchetta, extrait du communiqué de presse)